[Traduction française ci-dessous.]
It's official now: having
successfully answered such difficult
questions as What is your name?
, What is your quest?
and Where was your great-grandmother born?
, I can proudly claim
the right to be a
lumberjack or taunt King Arthur
with an outrageous accent.
Seriously, both passports were delivered quickly and are very nice
to look at: they have all sorts of colorful holograms on page two,
background watermarks on all pages and other presumably very advanced
anti-piracy features which I can't show you because I'm sure if I do
as much as put a photo of the inside on this blog I'll spend the rest
of my life rotting in jail. (That, and the fact that my
ID photo looks really awful.) The French one has more
bells and whistles because it has an RFID
chip inside which conclusively guarantees the end of my privacy
wherever I carry it, and also it has everything inside written in
eleven languages; but the Canadian one has this very nice letter by
the Minister of Foreign Affairs of Canada, in the name of Her Majesty
the Queen, requesting all those whom it may concern to allow the
bearer to pass freely without let or hindrance
. Both have a
spiffy golden coat of arms on the front cover and I notice that Canada's
now bears the motto desiderantes meliorem patriam
which wasn't there on my
previous Canadian passport (ah, indeed, it was added in '94). Oh, and
while I'm at it, I was shocked to find out that no portrait of Her
Majesty the Queen is displayed in the Canadian embassy in Paris
(though there is one of the Lieutenant-General and one of the Prime
Minister).
Whatever. The good news is that I'm leaving for Toronto on April 10–19 since I was able to find a flight (for less than 650€)—and a week's free time.
[French translation of the above.]
C'est officiel : ayant répondu avec succès à des questions très difficiles comme Quel
est votre nom ?
, Quelle est votre quête ?
et Où est née
votre arrière-grand-mère ?
, je peux fièrement revendiquer le droit
d'adopter un
castor ou de me moquer du roi
Arthur avec un accent ridicule.
Sérieusement, les deux passeports m'ont été remis rapidement et
sont très jolis à regarder : ils ont toutes sortes d'hologrammes
colorés en page deux, des empreintes de fond sur toutes les pages et
d'autres mesures certainement très avancées contre le piratage que je
ne peux pas vous montrer parce que je suis sûr que si je me risque à
mettre une photo de l'intérieur dans ce blog je passerai le reste de
ma vie à pourir en prison. (Ça, et le fait que ma photo d'identité a
vraiment une sale gueule.) Le français a plus de gadgets sophistiqués
puisqu'il a une puce
RFID à l'intérieur qui garantit de façon concluante
la fin de ma vie privée partout où je le porterai, et il a aussi tout
écrit en onze langues ; mais le canadien a cette jolie lettre du
ministre des Affaires étrangères du Canada, au nom de Sa Majesté la
Reine, priant les autorités intéressées de bien vouloir accorder
libre passage au titulaire de ce passeport
. Tous les deux ont
d'étincelantes armoiries dorées sur la couverture et je remarque que
celles du
Canada portent maintenant la devise desiderantes meliorem patriam
qui
n'était pas là sur mon précédent passeport canadien (ah,
effectivement, elle a été ajoutée en '94). Ah, à ce propos, j'ai été
choqué de voir qu'il n'y a pas de portrait de Sa Majesté la Reine
affiché dans l'ambassade canadienne à Paris (alors qu'il y en a un du
Lieutenant-Général et un du Premier ministre).
Bref. La bonne nouvelle, c'est surtout que je pars à Toronto les 10–19 avril puisque j'ai réussi à trouver un vol (à moins de 650€) — et une semaine de temps libre.