Je n'ai toujours pas réussi à m'inscrire en fac (plus que deux jours…). En fait, je n'ai réussi à rien faire de ce que j'avais prévu pour aujourd'hui. Cependant, j'ai réussi à faire quelque chose que je n'avais pas prévu mais qui était éminemment nécessaire : m'acheter un agenda 2004 (il y a quelque chose de délicieusement méta là-dedans). Malheureusement je n'ai pas réussi à me lever avant 10h30, je n'ai donc pas pu arriver à Orsay (après déjeuner et achat de l'agenda en question) avant 14h30 ou quelque chose comme ça (non, je ne sais pas pourquoi il m'a fallu quatre heures). Après ça, j'ai récupéré les papiers (signés par les cinquante personnes aux titres pompeux qui devaient donner leur accord) nécessaires pour mon inscription en thèse, mais je devais pour compléter le dossier y joindre la photocopie d'un autre papier (mon contrat d'ATER pour prouver que j'ai une sécurité sociale) qui se trouvait chez mes parents, et le temps que je rassemble tout ça, je suis arrivé au secrétariat de la scolarité du 3e cycle à 17h (non, je ne sais pas pourquoi il m'a fallu deux heures et demie), et il était déjà fermé. Résultat, je suis rentré à Paris, et, pour bien compléter la journée complètement ratée, je n'ai pas corrigé les copies que je devais corriger, je n'ai pas continué les calculs que je devais continuer, et je n'ai pas dîné avec Antoine comme prévu (mais là ce n'était pas ma faute).
Tout cela (enfin, les inscriptions, les corrections de copies et probablement les calculs) est donc remis à demain, où j'ai déjà plein de choses à faire, et je n'arriverai donc à nouveau pas à m'en sortir. Splendide. En plus, ça veut dire que je dois me lever plus tôt demain (7h), et donc que si je veux dormir assez (autour de 10h), je dois me coucher il y a un heure. Magnifique.
(Parfois je me demande comment l'Univers a réussi à se passer de
moi pendant quinze milliards d'années. <joke
kind="private">
Ah oui, c'est vrai, c'est parce que ça ne
fait en fait que quarante-deux
secondes.</joke>
)