C'est ici que tout avait commencé, sous le regard moqueur et bienveillant d'Auguste Comte : il est juste et bon que je me retrouve au même endroit, devant cette statue, maintenant que ta mort a scellé mon propre destin. Tu m'as manipulé, Libérateur, je ne le comprends qu'à présent, quand il est trop tard. Pris dans le dédale des façades que tu as dressées pour moi, façonné comme tu l'as voulu, j'ai été ton objet, je ne peux désormais que porter jusqu'au bout le rôle que tu m'as assigné. Ma gloire et ma honte.
À mon tour d'être le Libérateur.