J'ai fini par avoir la réponse à cette question que je posais il y a bien longtemps (merci, Arthur !) :
Κολλητὰ
εἶναι οἱ
πόρτες τῆς
Παράδεισος
καὶ τῆς
Κόλασης·
ἀπαράλλαχτες
κι οἱ δυό,
πράσινες κι
οἱ δυό·
ὄμορφες κι
οἱ δυό·
ἔχε τὸ νοῦ
σου, Ἀδάμ!
Ἔχε τὸ νοῦ
σοῦ, Ἀδάμ!
Ἔχε τὸ νοῦ
σοῦ, Ἀδάμ!
(Νίκος
Καζαντζάκης,
Ὁ
τελευταῖος
πειρασμός)
Les portes du Paradis et de l'Enfer sont côte à côte ; identiques toutes les deux, vertes toutes les deux, belles toutes les deux. Prends garde, Adam ! Prends garde, Adam ! Prends garde, Adam !(Nikos Kazantzakis, La dernière tentation)
C'est amusant, le grec moderne, je comprends plein de mots (enfin, à l'écrit, parce que quand c'est parlé ça devient totalement inintélligible pour moi).