Mes deux rapporteurs ont émis un avis favorable sur mon manuscrit. Le feu est donc vert pour que je soutienne. Il n'y a « qu'à » rassembler un jury (on a quatre personnes dedans, à savoir mon directeur de thèse, les deux rapporteurs et Olivier Debarre qui sera président, et on cherche un cinquième…), réserver une salle, préparer le pot, rassembler tout ça dans l'espace et dans le temps, et avoir quelque chose à dire (gloups). Ça sera probablement le 5 ou le 8 avril (les seules dates dans l'intersection des disponibilités des différentes personnes), au matin. Ce qui signifie aussi que c'est un peu la panique, parce que la date doit être déposée à la scolarité du troisième cycle de l'Université, avec la composition complète du jury, un résumé en trente exemplaires (sic), et plein de signatures, au moins dix-sept jours stricts avant la soutenance. Soit, en pratique, au plus tard ce vendredi. Moi qui ai horreur d'être pressé par le temps.
Et par ailleurs, je n'ai pas l'impression que je doive me réjouir d'avoir bientôt passé cette étape. C'est un cycle de ma vie qui s'achève, une période qui a été plutôt heureuse, et je ne me félicite pas de la quitter.