Jean-Gustave et moi avons finalement décidé de nous séparer : c'est
ainsi que je révèle le nom de celui que je ne voulais
qu'appeler mon copain
en même temps qu'il ne l'est plus.
Précisons que c'est d'un accord commun que nous mettons un terme à
notre relation : nous avons échangé plusieurs SMS pour
négocier les conditions de cette rupture, et nous restons en très bons
termes (d'ailleurs son avocat vient de m'annoncer qu'il me laissait
48h de rallonge pour évacuer l'appartement). Cela valait sans doute
mieux : j'avoue ne jamais avoir réussi à bien partager sa passion pour
la philatélie et pour Claude François, tandis que pour sa part il n'a
pas pu dépasser sa phobie des ordinateurs.
Bref, une page se tourne. J'ai voulu l'annoncer ici sobrement.