Ce n'est pas comme si les vacances scolaires avaient une signification très importante pour moi — en ce moment j'enseigne deux heures par semaine en tout et pour tout, ce n'est pas une surcharge de travail — mais j'ai le sentiment (à tort ou à raison) qu'il y a une quantité invraisemblable de choses (comme remplir mon dossier de demande de deuxième année d'ATER…) que j'ai remises « à plus tard » pendant ces deux dernières semaines ou avant et qui vont me retomber dessus avec toute la grâce d'un hippopotame s'écrasant sur un œuf. Je suis très tendu (le genre de tension caractéristique de l'état mental « je n'ai pas fait ce que j'aurais dû, et je vais en subir les conséquences »).
Quelque part je retrouve l'état d'esprit de mon enfance, quand je faisais une maladie de chaque rentrée.