C'est fait (et évidemment ce n'est pas parfait), avec une quantité raisonnable de private jokes — et un bon nombre d'heures passées à hacker. Tout mon respect va à ceux qui se sont, par le passé, attelés à cette corvée, semaine après semaine, pendant des mois d'affilée : moi je doute que je donne plus qu'un coup de main symbolique pour les numéros ultérieurs.