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simply produces <foo>in the text).
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Ruxor (2013-06-24T19:11:25Z)
@Grasyop: C'est le même espace de dimension 3 pour tout l'univers, mais ce n'est pas évident de transporter une base choisie pour un proton vers un autre proton. Je n'ai pas le temps d'expliquer plus précisément.
Grasyop (2013-06-24T19:07:10Z)
Merci. J’ai encore un doute sur le niveau d’arbitraire : si je définis les couleurs des trois quarks d’un proton donné, est-ce que ça suffit à définir les couleurs de tous les protons de l’univers, ou est-ce que je dois refaire un choix arbitraire pour chaque proton ?
Ruxor (2013-06-24T14:21:48Z)
@Grasyop: Oui, on devrait distinguer un u rouge, un u vert et un u bleu (en gardant à l'esprit, cependant, qu'en raison de la symétrie des couleurs le choix en question est complètement arbitraire comme si on doit choisir trois dimensions d'espace ; contrairement aux saveurs qui, elles, ont un choix canonique par le fait qu'elles ont des masses différentes). Mais en fait, on doit aussi distinguer un u rouge gaucher et un u rouge droitier (et pareil pour toute combinaison saveur×couleur) : au final, compter les particules est un peu arbitraire, il faut plutôt se demander quel est le nombre de dimensions de particules élémentaires, et je crois compter qu'il y a, côté fermionique, 72 dimensions de quarks (6 saveurs × 3 couleurs × 2 hélicités × {particule,antiparticule}), 12 dimensions de leptons chargés et 6 ou 12 dimensions de neutrinos (on ne sait pas exactement, ça dépend de la question des neutrinos droitiers qui n'est pas éclaircie, mettons 12 si ce sont des particules de Dirac), et côté bosonique, 2 dimensions pour le photon (deux polarisations), 16 de gluons (8 couleurs × 2 polarisations), 9 pour les bosons faibles (3 charges × 3 polarisations), 1 Higgs et 2 pour le graviton (même si on ne sait pas le quantifier), donc au total 96 dimensions de fermions et 30 dimensions de bosons = 126 dimensions au total.
Grasyop (2013-06-24T08:00:45Z)
Bonjour. Il y a quelque chose que je ne comprends pas dans l’inventaire des particules élémentaires. Si le quark u, par exemple, est une particule élémentaire, ça devrait signifier, me semble-t-il, que deux quarks u sont indistinguables l’un de l’autre. Pourtant, je lis ailleurs que les quarks portent des charges de couleurs et qu’un quark u peut être rouge, bleu ou vert. Alors, est-ce qu’on ne devrait pas distinguer trois particules élémentaires : quark u rouge, quark u bleu, quark u vert ?
régis (2013-06-22T10:04:04Z)
ce qui est bien avec Ruxor, c'est qu'il va pouvoir visionner les films d'art et d'essai estoniens avec sous-titres en féroïen du sud qui passent sur Arte, et nous en faire le résumé en vivaro-alpin et le commentaire en vasco-aquitain.
Ruxor (2013-06-22T00:01:39Z)
@zEgg: En fait, ça c'est aussi le sens de l'allemand « fest ». Mais je pensais au sens de « vast » en néerlandais quand il est adverbe et qu'il signifie notamment « sûrement ». Le problème avec tous ces sens c'est qu'ils sont clairement apparentés mais ils ne collent pas complètement et chaque langue choisit un sous-ensemble un peu aléatoire alors on s'y perd vite.
zEgg (2013-06-21T19:31:32Z)
"le néerlandais "vast" ne coïncide ni avec l'allemand "fast" ni avec l'allemand "fest" ni avec l'anglais "fast""
Mais avec le suédois "fast", si, en tant que prépo genre "att sitta fast" (aussi voir anglais "to fasten"). Pour fast / fastän (bien que) je ne sais pas.
Vicnent (2013-06-18T14:23:33Z)
le médicament dont je parle dans mon commentaire ci dessous est de la mélatonine. (marque super Diet en boite de 120)
<URL: http://www.maboutiqueonaturel.com/produit-naturel-melatonine---120-gelules-super-diet-sommeil,2636.html >
Vicnent (2013-06-18T09:58:28Z)
Sur ces pb de sommeil, effectivement, aller voir un spécialiste du sommeil serait peut être une bonne chose. ça fait longtemps que je trouve dans l'ensemble mon sommeil assez exécrable et j'ai toujours mis cela, peut être un peu de façon fainéante, sur mon hygiène de vie (coucher tard, bouffe pas forcément optimale, surpoids, psycho, …). Deux de mes amis sont récemment aller voir des spécialistes (avec nuit + capteurs etc…) et si pour l'un au moins, "ça va à peu près", l'autre en fait faisait à la fois des apnées et surtout 80 réveils de moins de 10 secondes et 40 de plus de 30 secondes. Il est traité désormais (je n'ai plus le nom de la molécule, un truc du genre ritaline, mais ce n'est pas celle là…) et je crois que ça va mieux.
J'ai vu récemment un endocrino pour un projet pro et celui m'a confié qu'un bon indicateur de la nuit était la fraicheur au réveil…
Et il y a aussi ces objet connectés QS tel fitbit qui sont (seraient ?) capables de te réveiller au bon moment. J'ai moi même un FitBit One qui peut le faire mais je n'aime pas dormir avec un truc au poignet. Si tu veux faire l'essai, je peux te le donner (je ne vais plus l'utiliser - sinon, c'est de l'ordre de la centaine d'euros sur amazon)
Un élement important que j'ai découvert récemment, c'est le cercle vicieux suivant : ne pas s'endormir => se mettre sur sa tablette pour attendre le sommeil.
En fait, cela ne fonctionne pas du tout : "Deux mécanismes sont capables de détecter les variations de la lumière et les rythmes de la vie sociale pour resynchroniser cette horloge si nécessaire. [alternance jour / nuit, ndlr] Parmi ces deux mécanismes, la mélatonine permet d’avancer ou retarder l’endormissement pour s’adapter aux changements saisonniers de luminosité. La rétine contient en effet des cellules sensibles au degré de luminosité qui transmettent l’information au noyau suprachiasmatique situé à la base de l’hypothalamus. Ce dernier relaie l'information jusqu’à une petite glande, l’épiphyse ou glande pinéale, qui secrète la mélatonine. Dès que la lumière baisse, la libération de l’hormone augmente. Inversement, une lumière forte le soir retardera l’endormissement."
Source : <URL: http://www.inserm.fr/thematiques/neurosciences-sciences-cognitives-neurologie-psychiatrie/dossiers-d-information/sommeil >
Du coup, se faire un peu de blog dans le lit pour attendre le sommeil va retarder celui ci du fait de la non sécrétion de la mélatonine. Et Barbara, ma compagne, m'indique avoir lu que les écrans de smartphone dégagent justement celle vilaine lumière bleue qui excite particulièrement ces "cellules sensibles au degré de luminosité". D'où le cercle vicieux.
En tout cas, si tu va voir un spécialiste, je suis preneur des infos, même en privé.
Pour ma part, je sais que de toute façon, ça ne va pas s'arranger tout de suite, puisque à la maison, on a réussi récemment cette formidable opération que 1 + 1 = 3 :-)
f3et (2013-06-16T21:06:55Z)
C'est pas pour dire, mais démontrer ce genre de résultat (sur sin x/x) n'est pas si dur, si on admet un ou deux trucs (bien plus simples que la définition de la longueur) : il suffit de remarquer que l'aire d'un secteur circulaire est proportionnelle à l'arc pour prouver que (en radians) x<tan x ; sin x<x résulte de ce que le côté opposé de l'angle est inférieur à la corde, elle même inférieure à l'arc, et l'encadrement sin x<x<sin x /cos x permet aisément de conclure (à l'aide du théorème des gendarmes si on veut faire semblant d'être rigoureux) en restant au niveau première, voire troisième ; si je me souviens bien, Lang donne une démonstration analogue pour montrer que pi est compris entre les périmètre de deux polygones.
Fred le marin (2013-06-16T18:56:02Z)
Merci beaucoup, professeur.
"G" était surtout dans mon esprit la constante de la gravitation universelle.
Et j'ai (au passage) trouvé la réponse à ma première question :
Le (demi)-arc de cercle supérieur (y positifs) s'exprime à l'aide de fonctions usuelles (racine carrée de 1-x², pour -1 ≤ x ≤ 1).
Cette fonction est continue, puis dérivable, sur les bons intervalles (!).
Le théorème des accroissements finis (niveau BAC+1, certes) et l'intégrale de Riemann permettent de conclure que la "borne supérieure des longueurs des lignes polygonales [sur toutes les subdivisions de l'arc]" existe et est bien finie.
Un arc de cercle - véritable - possède donc une longueur, et par symétrie (de rotation) le cercle tout entier également.
¡ Buenas noches !
Ruxor (2013-06-16T17:08:38Z)
Le G majuscule est le symbole, assez peu standard il faut l'admettre, du graviton (<URL: http://pdg.lbl.gov/2012/listings/rpp2012-list-graviton.pdf >).
MaD (2013-06-16T10:42:36Z)
Va voir un spécialiste du sommeil (http://www.sommeil-vigilance.fr/).
Fred le marin (2013-06-16T08:47:54Z)
Ce qui m'occupe, n'étant pas mort (ni même peut-être vivant).
Je suis tombé hier sur la démonstration, un peu douteuse, de la limite d'un sinus cardinal (x -> sin(x)/x, x étant exprimé en radians) en x=0 (elle vaut en fait classiquement 1).
La preuve géométrique (a priori la seule au niveau de la classe de Terminale, n'entraînant pas de cercle vicieux) suppose l'arc de cercle rectifiable et surtout de longueur finie.
Intuitivement, cela se conçoit bien, mais rigoureusement ?
Comment être certain, à ce niveau assez élémentaire, que le périmètre du cercle est bien défini (i.e. n'est pas fractal, voire pire) ?
Et ce résultat est utilisé ensuite pour démontrer sin' = cos…
Sinon, qu'est-ce que ce "G" [majuscule] (dans le coin haut, tout à gauche ?)
Il y a là des structures platoniques dont l'existence échappent à l'entendement humain !