<foo>
simply produces <foo>in the text).
<URL: http://somewhere.tld/ >
,
and it will be automatically made into a link.
(Do not try any other way or it might count as an attempt to spam.)mailto:
URI,
e.g. mailto:my.email@somewhere.tld
,
if you do not have a genuine Web site).
Nicolas (l'autre) (2006-11-29T23:03:15Z)
Tout dépend du test.
Si on prend un test qui répond négativement lorsqu'il est non-fiable (ie malade non-détecté uniquement), alors ça pose moins de problèmes, le test répondant toujours négativement pour un sain, la probabilité pour que la personne soit vraiment malade si le test répond positivement est de 100%. Par contre il y aura toujours 1% des malades qui pensera être sain.
2% (2006-11-29T18:05:52Z)
Autre cas du « piège bayésien classique » : s'il y a une association qui sélectionne environ une personne sur 50 sur la base d'un test et qu'on dispose d'un test fiable à 90% pour déterminer si quelqu'un a cette maladie, pardon, peut y adhérer, si le test indique que quelqu'un est admissible, quelle est la probabilité qu'il le soit vraiment ?
M (2006-11-29T15:20:53Z)
et selon toi c'est quoi le secret du bonheur? tu es bien placé pour répondre, non…
Ruxor (2006-11-29T10:23:58Z)
Oui, j'oubliais de dire, c'est justement lui le fondateur ou cofondateur ou quelque chose comme ça de <URL: http://www.gapminder.org/ >. Il le dit à la fin de la vidéo.
Octavo (2006-11-29T08:09:47Z)
Les statistiques époustouflantes de la vidéo de Rosling ressemblent fort à celles que l'on peut générer avec GapMinder <URL: http://tools.google.com/gapminder/index.html >
Conscrit neuneu (2006-11-28T22:28:40Z)
Pour la note de bas de page, je nie tout.
phi (2006-11-28T17:42:35Z)
Ho, David, arrête de vivre ta vie (ce qui est à la portée du premier imbécile venu) et viens écrire dans ton blog! Purée, les lecteurs vont-ils regretter tes entrées quodidiennes de naguère dont la moitié contenaient une complainte "ouiin, je suis vraiment trop malheureux!"? Et si… tu nous racontais ton bonheur?
Le bonheur, c'est d'abord de la neurochimie, où interviennent les gènes, le développement durant l'enfance, et accessoirement les circonstances. Ensuite, les gens heureux attirent les autres, comme si ceux-ci espéraient une contagion, et deveiennent d'autant plus heureux par un cercle vertueux. Il y a aussi des comportements qui rendent malheureux, tels les quêtes obsessionnelles (argent, succès professionnel, maison, copain/ine…) dont l'aboutissement conduit parfois à la dépression ou à des comportements pathologiques plus agressifs. Heureusement, notre Ruxor reste, lui, un modèle de santé mentale.
Anom. Cow. # 42 (2006-11-28T15:01:55Z)
Quand je pense que le bonheur des autres, c'etait de lire tes malheurs quotidiens… Comme quoi, le bonheur des uns…
Puck lutin de la colline (2006-11-28T10:51:13Z)
Oui ! le bonheur n'a rien à raconter, quand tu en seras à une entrée par mois ce sera certainement le Nirvana …
Decebal (2006-11-28T07:41:10Z)
La recette du bonheur est élémentaire : se donner aux autres avant de se donner à soi-même.
Fred le marin (2006-11-28T06:11:18Z)
Les mots humains sont finalement pauvres et les symboles aussi : répétitifs, cycliques, redondants, récursifs, surabondants et mornes.
Les vidéos (bientôt - et déjà - "HiDef") peuvent être riches en sensations [sexe XXX, clips, séries, interviews de VIP].
Voilà une idée reçue contemporaine : le bonheur passe par de grandes émotions "neuves", et le (re)nouveau technologique.
Le cycle des réincarnations ne sera pas une prison s'il s'élargit sans cesse, maître Gro-Tsen.
Incrémentons, pardi. Partir en spirale d'Archimède en somme…
Wizzzzz !