Comments on De la difficulté à faire un choix

cavalier sans tête (2006-05-31T08:54:12Z)

En allant à Lyon tu sauras, peut-être rapidement, s'il s'agissait du bon choix.
En restant à Paris, tu ne le sauras jamais.

Il te faudra, en quelque sorte, "payer pour voir".

Gilles (2006-05-30T12:29:56Z)

Pour la Suisse envoie un petit mail juste pour obtenir des renseignements à :Ernst.Hairer@math.unige.ch c'est le responsable de la section de maths , tu lui résume brièvement ton CV dans un couriel et tu verras …qui ne tente rien n'a rien…et sinon postule pour Lausanne à l'EPFL en candidature spontanée (c'est vrai ce n'est pas aussi bien que l'X française mais tu ferais aussi de la recherche)
Bon courage.

Gilles (2006-05-30T12:19:07Z)

Il y a un bonhomme qui travaille à Lausanne il vient de ULM aussi : Yves de Cornulier , peut-être que tu le connais , il a organiser quelques séminaires plutôt sympa à Genéve et d'aprés ce qu'on m'a dit( je n'ai malheuresement pas pu les voir), enfin bref il peut de donner des billes et venant lui aussi de Normalie je ne pense pas qu'il refuserait de donner des renseignements.
Sinon c'est ta vie et tes choix sont les meilleurs , ma mère me disait n'écoute que ton coeur….

Ruxor (2006-05-30T10:24:09Z)

C'est gentil de me parler de postes en Suisse, mais pour ce que j'en sais ce serait totalement irréaliste, avec mon dossier, de postuler là-bas même comme professeur adjoint (il faut *beaucoup* plus d'ancienneté).

alsatian (2006-05-30T07:01:09Z)

Dans l'introduction d'un livre de maths, j'ai lu une phrase du genre : "thanks to (So-and-so) for convincing us that the most useful book is not the one that is the most perfect, but the one that actually gets published".

Je te laisse le soin de transposer ce conseil, mutatis mutandis, à ta situation.

Gilles (2006-05-30T07:00:53Z)

Bonjour,
Quitte à partir de Paris va ici :
a FACULTE DES SCIENCES ouvre une inscription pour un poste de

PROFESSEUR-E ORDINAIRE
ou
PROFESSEUR-E ADJOINT-E

à la Section de mathématiques

CHARGE : il s’agit d’un poste à charge complète, soit 6 heures d'enseignement et de séminaires par semaine. Le-la candidat-e retenu-e participera aux tâches de gestion et d'organisation qui sont liées au domaine spécifique qui lui sera confié et sera appelé-e à poursuivre des recherches et à diriger des thèses. Les candidatures en analyse, algèbre, géométrie et physique mathématiques sont particulièrement encouragées.

TITRE EXIGE : doctorat ès sciences ou titre jugé équivalent. Expériences de l’enseignement et de la direction de recherches en mathématiques.

ENTREE EN FONCTION : 1er octobre 2007 ou date à convenir.

Les dossiers de candidature doivent être adressés avant le 15 septembre 2006 au Décanat de la Faculté des Sciences, Quai Ernest Ansermet 30, CH-1211 Genève 4, auprès duquel des renseignements complémentaires peuvent être obtenus sur le cahier des charges et les conditions :

Gaelle.Auge@sciences.unige.ch

Dans une perspective de parité, l’Université encourage les candidatures féminines

En plus le salire est …trés trés bon.

Sinon Paris - Lyon pas besoin de te poser 100000 questions , Lyon n'est pas le bout du monde , tu partirais pour la mongolie , là je ne dis pas , le choix serait dur mais 2 heures de TGV . Tu te poses (à mon avis trop de questions) part. Et encore mieux part en Suisse en plus cela te fera une expérience étrangère.

JeanFisher (2006-05-29T16:27:58Z)

En n'oubliant pas un bon argument en faveur de Lyon : le Forum Bar ;-)

Anonymous Coward (2006-05-29T16:11:41Z)

> Ce que je cherche plutôt, ce sont des méta-conseils,
> c'est-à-dire : comment savoir ce que je veux vraiment, ou
> comment me décider lorsque j'hésite désespérément ?

L'ennui de prendre une décision n'est pas tant d'en prendre une bonne ou une mauvaise mais de constater à posteriori qu'il y avait des indices qui auraient dû nous faire pencher dans un sens plutôt que dans l'autre - et nous ne les avons pas vus ! C'est en somme la crainte d'avoir failli là où d'autres auraient pu réussir.

Nous te connaissons assez pour nous douter que tu as exploré en détail toutes les ramifications de chaque possibilité, vraisemblablement sans avoir pu trouver d'argument discriminant. Or personne - pas même les lecteurs de ton blog - n'a trouvé de méthode infaillible pour comparer les pommes et les oranges. Si tu n'as pas trouvé de solution, c'est qu'il n'y en a probablement pas. Encore faut-il que ce soit toi qui parviennes à cette conclusion.

Tu ne peux pas passer le reste de ta vie à chercher l'argument ultime. Tu ne peux pas passer le reste de ta vie à reconsidérer chacun des choix que tu as été amené à faire. Et tant que tu n'auras pas admis cela, aucun choix quel qu'il soit ne sera satisfaisant à tes yeux.

vicnent (2006-05-28T19:27:36Z)

si tu n'as aucun intérêt à partir, pourquoi partir ?

Peut être pour :
1/ sortir de ta bulle parisienne,
2/ te remettre en question (challenge) et
3/ découvrir Lyon ?

Mais si tu veux vraiment un méta conseil, je te propose celui ci : tirage au sort pondéré.

- Prendre la liste de "pour" et de "contre" pour lyon et Paris : 4 colonnes.
- chercher l'argument "Pour" tel que s'il n'existait pas, tu resterais (partirais).
- pondérer le reste en prenant les arguments "contre" en négatif, les autres en positif.
- faire la somme pour Lyon et Paris. (j'espère que tous les deux sont positifs…).
- Puis tirage au sort pondéré.

Faut juste te convaincre avant qu'aucune autre méthode ne fonctionnera. Sinon, trouver une méthode contre-exemple, et l'utiliser. ;-))

Dionysos (2006-05-27T21:21:33Z)

Il me paraît évident que
1) s'il y a quelque chose que tu veux vraiment, le seul accès passe par l'introspection et il est donc stérile de demander à autrui des méta-conseils
2) le fait même que tu te poses la question est la preuve qu'il n'y a rien en l'espèce que tu veuilles vraiment. Et il s'agit donc davantage d'une confusion au sein de ton langage (qui présuppose qu'il y a un vouloir authentique sur tout type de question)qu'un réel dilemme. Comme souvent, une fois reformulée, la question est peut-être bien près de s'éclipser. En tous cas, il y a peut-être lieu d'hésiter fortement (j'en sais rien, je n'habite pas ta conscience) , mais certainement pas de postuler un vouloir déjà constitué qui pourrait servir de pierre de touche puisqu'il est nié de facto par ton mouvement réflexif et progressif.
3) Comment se décider à la suite d'une profonde hésitation ? Si 2) est vrai, alors il n'y a aucune méta-règle mais c'est à ta liberté de s'engager, pour parler à l'ancienne manière germano-pratine.

Nick (2006-05-27T20:46:51Z)

C'est simple:

Tu leur demande franco si c'est une proposition pour un futur poste de MdC. Et quelle est la probabilité qu'ils t'en donnent effectivement un l'an prochain.

J'imagine qu'ils ne t'ont pas fait cette proposition de manière completement innocente.

Eric C. (2006-05-27T15:44:12Z)

Si tu cherches des méta-conseils, je n'en ai alors qu'un seul : ne bouge pas.
Pour aller dans le sens de ce que dit BN(A), tu sais ce que tu as aujourd'hui, tu ne sais pas ce que tu vas trouver …
La seule raison logique qui pourrait te pousser à changer, c'est que tu sois mécontent de ce que tu as aujourd'hui. Est-ce le cas (indépendamment de tes contrariétés du moment) ?

flo (2006-05-27T15:27:51Z)

"comment savoir ce que je veux vraiment, ou comment me décider lorsque j'hésite désespérément ?"

Nous ne savons jamais définitivment ce que nous voulons, parce que cela évolue avec les choix que nous faisons, et que la volonté est autant un "possibilisateur" qu'un outil de décision. Ce que nous voulons appartient en partie au domaine du possible, aussi la proposition "savoir ce que je veux" est une proposition paradoxale, qui reflète autant le désir de savoir "ce que nous voulons" (qui peut faire naître une croyance) que ce savoir lui-même.

Partir de ce que nous voulons pour faire un choix est donc problématique pour une "méthodologie personnelle". En revanche, prodéder inversement, en partant de ce que nous ne voulons pas, qui est plus clairement déterminé et davantage de l'ordre du constatif (quoique non achevé au moment où nous l'examinons), peut être utile.

Utile, mais pas la méthode qui te donnera le "bon" choix, parce que faire un choix sur l'avenir relève d'une sorte de pari, ça revient à ouvrir une option sur quelque chose qui n'est pas encore, par définition. La difficulté à décider vient alors aussi souvent du fait que nous avons envie de garder en suspens toutes les ouvertures qui s'esquissent, toutes ces "potentialités" dont tu parlais auparavant, et que nous avons envie de pouvoir ouvrir une porte sans en fermer une autre, maintenir en l'état l'esquisse et tous les tableaux qu'elle contient sans achever ce tableau-ci plutôt que celui-là qui effacera tous les autres.

Mais parfois, en laissant passer un peu de temps, il y a des décisions qui se mettent en route pour ainsi dire toute seules, nous libérant du poids de tout dessiner (en fait notre esprit "déstressé" de l'impératif de la décision se met à manipuler l'objet plus librement). Il ne faut pas chercher à décider tout de suite après que la question ait été posée, attendre un peu permet de s'apercevoir que la réponse est en partie dans la question posée et dans la façon de la poser, un peu comme dans les énigmes, qui semblent impossibles dans l'immédiat, et qui avec un peu de temps et laissées en roue libre dans l'esprit deviennent plus lisibles, formulables autrement.

Mon sentiment (qui n'est pas un conseil ;))
>> prendre en compte ce qui relève du "ce que je ne veux pas"
>> attendre pour produire l'effet de mise en suspens et mettre, mais sans attendre trop pour ne pas laisser s'approcher l'échéance de trop près ; autrement dit, "poser" la question… mais au sens littéral.
>> puis traiter la question comme un objet et la reformuler, "reshape it".

BN(A) (2006-05-27T10:22:54Z)

Comme tu demandes des conseils et que ce genre de situation est critique malgré tout, je te donne mon petit avis.

"je sais bien qu'aucun choix n'est mauvais, mais je pourrais quand même regretter de ne pas avoir fait le meilleur"

Je penserais à ta place l'inverse - aucun des choix n'est bon (puisque je voulais être CR au CNRS ou MDC) mais je vais éviter de choisir le pire*. Le pire est celui où ce qui peut raisonnablement m'arriver de moins bien (le moins bon 1/4 des possibles disons) arrive. Je prendrai la moins mauvaise des deux situations hypothétiques.

En général - donc a priori - la solution conservatrice est la meilleure dans ce cas (et la solution du changement celle qui est favorisée).

*dans le contexte opposé (tu as le choix entre CR et MDC ou deux MDC qui se produira peut être l'année prochaine), je te proposerais de miser sur le meilleur 1/4 potentiel (en général dans cette situation les gens jouent la sécurité bizarrement !).

Sans trop étayer la raison logique (ce n'est pas lieu) je ferais la comparaison avec les gens qui préfèrent souvent vous faire corriger ou travailler sur un défaut que développer une qualité alors qu'il est évident que la seconde option est beaucoup plus payante et positive .

mummy (2006-05-27T09:44:08Z)

Faire un choix,d'idée, de personne ou de situation, c'est évidemment et rien d'autre que d'en peser le pour et le contre et essayer d'en supputer toutes les conséquences possibles pour soi même d'abord et pour les autres ensuite.Cette mise en balance est évidemment strictement personnelle, mais pas abstraite, les conseils extérieurs peuvent la faire pencher dans un sens ou dans l'autre.Mais en dernier recours, on est bien seul et LE seul à prendre la décision.

Touriste (2006-05-27T09:22:19Z)

Le seul meta-conseil que je voie, c´est le même que celui donné par Ni plus haut : tirer au sort.

Évidemment il n´y a aucune raison de répartir les chances en cinquante-cinquante entre les deux branches de l´alternative.

Il ne reste donc plus qu´à tenter de quantifier le pour et le contre de chaque solution, fixer une probabilité de partir à Lyon et donc aussi la probabilité complémentaire (après appel aux méta-méta-conseils pour cette opération) puis effectuer le tirage au sort.

Voilà un réjouissant programme d´activité pour la semaine qui vient. Quoi elle n´est pas simple ma solution ?

SF (2006-05-27T07:22:22Z)

Cela dit outre le plus grand bien que cela ferait de changer un peu d'air, cela ne nuirait pas non plus à l'ENS de Lyon, qui manque quand même sérieusement d'algébristes…du coup la scolarité, et en particulier la préparation à l'agrégation, s'en ressent (bon c'est pas la catastrophe non plus, entendons nous bien…). Ils font venir des algébristes de La Doua et de Grenoble pour les cours mais pour la prépa agreg, avoir un véritable algébriste serait fort agréable…
Je dis cela tout en espérant ne pas avoir à remettre les pieds à l'ENSL l'an prochain pour préparer l'agreg…

procrastinateur (2006-05-27T05:42:10Z)

choisir A, choisir B ou ne pas choisir… Un mathématicien comme toi devrait savoir qu'il est très difficile de modéliser abstraitement des décisions, et que nul ne peut te conseiller sur la manière de t'y prendre, si tu souhaites autre chose qu'un résultat statistique.
J'ai toujours eu l'impression que la bonne décision, c'est celle que l'on prend vite, et qui nous est dictée par la raison mais aussi par le coeur - en suivant une sorte d'évidence instinctive.
Tu prends toujours un risque en prenant une décision, personne ne peut atténuer ce risque pour toi. Mais c'est une chance rare d'avoir le choix, ce n'est pas une tragédie !
Bon courage.

Geo (2006-05-27T01:43:25Z)

En tous cas, vu de l'extérieur, ça ne ressemble pas à un choix vraiment critique. Passer un an à deux heures de train de chez toi pour y faire la même chose… il y a pire comme choix. Surtout que j'imagine que ton emploi du temps (et ton boulot) te laissera beaucoup de flexibilité pour rentrer à Paris aussi souvent que tu le souhaites. Scientifiquement et politiquement, est-ce que tu n'as pas exploité tout ce que Paris avait à t'offrir après toutes ces années ?

En tous cas, tu devrais miser sur le long terme. Les aspect financiers et affectifs pour une courte période ne devraient pas peser lourds si ça peut augmenter tes chances d'obtenir le poste qui t'intéresse dans un an ou deux.

Ruxor (2006-05-26T22:55:32Z)

Je ne prétends pas évoquer les arguments dans un sens ou dans l'autre (ni scientifiques, ni politiques, ni matériels-et-pratiques voire financiers, ni quoi que ce soit : ce serait trop long et il y a des choses que je préfère ne pas dire), et je ne cherche pas ici des conseils : je trouve à la limite plus utiles les gens qui, en connaissant les arguments, me disent qu'ils n'ont pas vraiment de conseils à me donner que ceux qui, sans les connaître, s'imaginent pouvoir en prodiguer… Même si j'étais bien persuadé, en postant cette entrée, qu'on allait me recommander en commentaire de partir à Lyon.

Ce que je cherche plutôt, ce sont des méta-conseils, c'est-à-dire : comment savoir ce que je veux vraiment, ou comment me décider lorsque j'hésite désespérément ? (La remarque selon laquelle il vaut mieux avoir des remords que des regrets est certainement pertinente en général, mais là, mais je sais *à coup sûr* que dans les deux cas j'aurai des regrets — et je ne pense pas que j'aurai de remords ni dans un cas ni dans l'autre.)

puce (2006-05-26T20:15:11Z)

Hummm… le genre de décision que l'on croit décisive et qui ne l'est peut-etre pas tant que ca.. au point de vue professionnel en tous les cas. Au moins ca te fait une nouvelle raison de te prendre un petit peu la tête. Ce qui est une bonne chose vu le contexte !
Je m'étonne du fait que tu ne mentionnes même pas les arguments "affectifs" dans ta balance décisionnelle (genre "A Paris, il y a tous les gens que j'aime" ou "tous les gens que je veux fuir", c'est selon). Bref.

Si je peux me permettre un conseil, comme ca, intuitivement, je pense que ca ne devrait pas te faire de mal de bouger un peu de Paris, de voir un peu d'autres choses…
Et au fond, pour un caiman au DMA à Ulm, il y a sans doute des expériences un poil plus traumatisantes que d'aller au departement de maths de l'ENS Lyon pour y être agrégé-préparateur…
Si tu y vas, j'espère que tu prendras le temps de sortir de Gerland. Il y a plein de choses à vivre et faire à Lyon ! Je suis sûre que tu y trouveras de quoi éveiller ta curiosité et ouvrir des appétits dans plein de domaines.

f3et (2006-05-26T14:04:53Z)

Bon, mon histoire personnelle est sans grand rapport avec la tienne. Mais j'ai regretté toute ma vie de n'avoir pas fait le choix de bouger, dans des circonstances analogues. Il est presque certain (les deux choix étant en gros aussi bons) que tu regretteras tôt où tard de ne pas avoir tenté l'aventure, alors que le risque que tu aies des remords de l'avoir fait est faible. Et de toute façon, il vaut mieux avoir des remords que des regrets…

Eric C. (2006-05-26T11:19:11Z)

"Terrible", le mot est peut-être un peu fort :)
Mais intéressant, stressant, motivant, inquiétant …
Avec d'un côté la solution de facilité (ne pas bouger, ne pas modifier ses repères, ses habitudes, ne pas prendre de risques) et de l'autre une solution que je pense intellectuellement plus stimulante. Parce qu'arriver dans une nouvelle équipe, devoir (re)faire ses preuves, c'est, en plus d'être un choix personnel évidemment difficile, une occasion de remettre certaines choses à plat, jusque peut-être dans ta façon de travailler …

Olive (2006-05-26T11:08:05Z)

Ça s'appelle "l'embarras du choix".

Ni (2006-05-26T11:05:28Z)

Si tu n'arrives pas à choisir, tu peux tirer au sort…

Maitre Stranger (2006-05-26T10:23:22Z)

Pour rompre ton attachement à Paris et à Ulm, va à Lyon. Mais je serai la 6564502654648726874 personne à te donner ce conseil, sûrement.

jko (2006-05-26T09:25:52Z)

je te conseillerai de changer d'environement:
- ca stimule les neurones
- l'air est surement moins polué a lyon
- + de soleil c'est bon pour le moral !

mummy (2006-05-26T08:04:43Z)

Voila l'occasion rêvée de sortir de ta bulle parisienne : si sur le plan professionnel tu n'as rien à perdre ( c'est ça le plus important à ce tournant de ta carrière), si la stimulation est aussi forte là bas,c'est peut être le moment de bouger.Tu gardes tes liens avec Paris et tu en crées de nouveaux sur place: c'est plutôt excitant!Lyon est vraiment près d'un coup de TGV et ton appartement parisien t'accueillera à tout moment quand l'envie t'en prendra.Mais cela implique aussi un saut dans l'inconnu, évidemment angoissant.Ceci dit, c'est une décision que tu devras forcément prendre d'ici 1 an…


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