Comments on Le voilà, le printemps, / Tout fleuri de lilas.

bin moi, j'aime beaucoup David quand il est niais.

P.S. c'était en 1999, en mars ou peut-être en avril.

Denis > merveilleusement délicieuse citation
David > même sensation ici. La promenade du chien a été suprêmement agréable. J'ai vu des jonquilles en fleur, des arbres bourgeonnant, etc. J'ai bien peur qu'une courte gelée ne brise tout…
Et il ya de nouveau tout plein de messieurs sur els bords de seine au niveau de sablières. Euh cette dernirèe phrases j'aurais pu m'en passer, mais je ne ferai pas l'affreux jeu de mot sur ce qui pousse parce que ce n'est pas correct.

De J.D. Salinger, dans "Seymour, une introduction" :
"Je suis atteint de paranoïa à l'envers ; je crois que les gens conspirent contre moi pour me rendre heureux".

c'est vrai, l'air est très gouleyant ces jours-ci, sans doute grâce aux vents d'ouest assez énergiques. Mais je me rappelle encore cet orage très violent de mars 2000 (?) après lequel l'air avait une fraicheur extraordinaire, un parfum de campagne encore imbibée de rosée.

Mais ces perceptions ne sont pas seulement objectives, très loin de là. Elles donnent notamment une indication sur notre état d'abrutissement ou de dépression (évidemment, je ne soupçonne pas notre géomètre préféré d'abrutissement). Indépendamment de la lumière (qui est assez jolie aussi en ce moment), la vision des couleurs dépend beaucoup de l'état affectif. Jadis, sortant d'une période de déprime, je remarquais soudain les arbres le long de mon trajet et les couleurs bigarrées des maisons: j'étais resté fixé sur une image au pire moment de l'hiver.
Ah, le printemps… le bourgeons, les petits oiseaux, le réveil du système limbique…

dans les jardins de Bercy ? mais il est fou ? ;-)