Comments on Compromise

Compromis, chose due… :)
Un bon exemple : carthage, une seule cité rasée et c'est 3 siècles de guerre qu'on achève…

Je pense que l'on doit être inflexible sur la profondeur des principes que l'on s'établie, c'est à dire qu'on suit une ligne de conduite, mais que c'est aussi un devoir d'être assez soupple sur leur application (on a pas le droit de déformer la ligne, mais on peu s'en écarter un peu temporairement). Sinon on dévient un peu comme une machine qui répondrait toujours la meme chose à la même question… ou bien on devient non derterministe…

C'est absolument sans rapport avec la question mais l'"article" suivant est assez drole:

http://www.theonion.com/3944/news3.html

Toute vie commune est un compromis entre deux individus, ce qui fait que tu peux trouver beaucoup d'exemples…
Sinon, on peut dire que l'inflexibilité reste dans la sphère privée le moyen le plus sûr de rater sa vie.
Dans le domaine politique, un élu gouverne toute la nation et pas seulement ceux qui ont voté pour lui ; il doit gérer un pays selon des besoins qui sont parfois contraire à ses principes. Seul un gouvernement totalitariste (qui a dit celui qu'on a maintenant ?) peut se permettre d'appliquer des dogmes sans s'intéresser au monde réel qui existe…
L'idée du misanthrope est très bonne, je n'y avais pas pensé…
(je n'arrive pas encore à me loguer…)

Euh… Je ne crois pas ^_^

Étienne… *Notre* Étienne ?

Et dans le cas historique, il y a l'épisode du compromis entre le Roi Etienne et l'Impératrice en Angleterre. Ce compromis a conduit aux Plantagenêts, fondateurs de l'Angleterre en tant que puissance et en tant qu'entité culturel.
(je sais que je fais chier mais je n'ai pu m'empêcher de répondre à ces questions très interessantes. :-))

Pour la première question, je vois bien "Le misanthrope" de Molière.