<foo>
simply produces <foo>in the text).
<URL: http://somewhere.tld/ >
,
and it will be automatically made into a link.
(Do not try any other way or it might count as an attempt to spam.)mailto:
URI,
e.g. mailto:my.email@somewhere.tld
,
if you do not have a genuine Web site).
igor (2011-05-10T09:32:32Z)
Effectivement des impôts plutôt bien utilisés.
D'ailleurs l'esprit de l'opendata c'est :
1) Ces données sont un patrimoine immatériel appartenant à tous car déjà payés par les impôts du contribuable
2) Rendre disponible ces data ne doit pas consommer de budget supplémentaire, cela doit se faire avec un coût de mise à dispo quasi nul.
valerio (2011-04-19T14:37:22Z)
The Death of Open Data?
The battle over budget cuts may gut the U.S. government's effort to make information more widely available.
http://www.technologyreview.com/web/37420/?p1=A1&a=f
valerio (2011-04-15T09:05:19Z)
le plan parcellaire complet est en format tiff mais compressé CCITT FAX4: si on le re-sauve, avec la compression LZIP par défaut, on obtient un fichier plus de 2 fois plus gros.
ex: n_106B: 8625x12545x1 passe de 1 MB à 2.45 MB (même rés et bpp) et 13.5 MB sans compression
Et en jpeg, ça passe à 18MB, quoique en bpp x8, mais apparemment très très mal compressé.
donc, bref, qui connaît un logiciel qui permet de fusionner et visionner des images ds ce format "sparsed"?
Tartaglia repenti (2011-04-14T15:08:34Z)
Je me suis trompé, j'ai associé un peu vite les bonbons de Bertrand au don d'Adèle.
En fait les potins sont à Angèle.
PB (2011-04-14T13:22:21Z)
> 1/Eh ben voilà où passent les impôts locaux!
Bonne utilisation des impôts je trouve.
Tartaglia rouspéteur (2011-04-14T06:53:17Z)
1/Eh ben voilà où passent les impôts locaux! (rouspéteur non parisien qui se mêle de ce qui ne le regarde pas)
2/ Ce n'est pas notre Gégé* qui nous distribuerait ce genre de douceurs! (grincheux jaloux)
3/ Et en plus il a augmenté les impôts (ronchon libéral)
* expression sans malveillance (Herriot: Doudou; Pradel= Zizi)cultivée par "Les potins d'Adèle" journal satirique et de cancans locaux, à lire avec l'accent de la mère Cotivet. (grognon nyonnais)